“The last flight of Simurgh” 2017
This project realised in July 2017 in Tehran/ Iran. The base of project is about the famous Soufisme book “the conference of the birds” by Farid ud-Din Attar Iranian poet in 13em century.
When “Simurgh” flew, fire rose from its wings and feathers lightened the era,”Simugh” is seen from distance.As an unattainable symbol “Simurgh” had always oveshadowed
Iran’s literature, philosophy and cognition. The nation had stared to the mountaintop of Damavand in their dream,seeking their fortune bird fly from an unknown peak “Qaf” someday and bring the luck and happiness. Unaware that they have to be flying hoopoesthemselves to become “Simurgh” at the end.
As the days pass this dream gets away. the last flight of Simurgh had happend long ago somewhere in the deepest and most hidden layers of Iranian history and fantasy and there is no hope that happens again.
Saba made a Simurgh from their vision of mysterious story, but we are the Simurgh. We break into pieces and from one body again.Simurgh id the mirror with no decoration, it would be as we are, whatever we are form the Simurgh. It devotes its being to let us be ourselves in in its body. A balanced cycle of existence and nonexistence to the fire of our entity, molten, polished and glossy…
text by Aidin Xankeshipour
July 2017
Dernier voyage du “Simurgh”
Ce projet a été réalisé en juillet 2017 à Téhéran/ Iran. La base du projet est sur le célèbre livre de Soufisme “la conférence des oiseaux” par Farid ud-Din Attar poète iranien au 13em siècle.
Lorsque “Simurgh” s’est envolé, le feu s’est élevé de ses ailes et les plumes ont illuminé l’époque, “Simugh” est vu de loin.
la littérature, la philosophie et la connaissance de l’Iran. La nation avait fixé le sommet de la montagne de Damavand dans leur rêve, cherchant leur fortune oiseau voler à partir d’un sommet inconnu “Qaf” un jour et apporter la chance et le bonheur. Sans se rendre compte qu’ils doivent voler eux-mêmes pour devenir “Simurgh” à la fin.
Au fil des jours, ce rêve s’éloigne. Le dernier vol du Simurgh s’est produit il y a longtemps, quelque part dans les couches les plus profondes et les plus cachées de l’histoire et de la fantaisie iraniennes, et il n’y a aucun espoir que cela se reproduise.
Saba a créé un Simurgh à partir de leur vision d’une histoire mystérieuse, mais nous sommes le Simurgh. Le Simurgh est le miroir sans décoration, il serait tel que nous sommes, quoi que nous soyons sous la forme du Simurgh. Il consacre son être à nous laisser être nous-mêmes dans son corps. Un cycle équilibré d’existence et de non-existence au feu de notre entité, fondue, polie et brillante…
texte par Aidin Xankeshipour
juillet 2017